Pour les goélands, la principale source d’exposition aux retardateurs de flamme est l’air rempli de poussières contaminées des dépotoirs.

Notre membre Jonathan Verreault et son équipe ont développé un dispositif faisant office d’échantillonneur passif d’air, qu’ils ont fixé sur le dos des goélands. «Avec ce dispositif et la balise GPS, nous avons été en mesure de confirmer que les goélands qui passent plus de temps dans les dépotoirs sont exposés à de plus fortes concentrations de contaminants comme les retardateurs de flamme».

Les données recueillies pourraient soulever des enjeux en lien avec la santé des travailleurs des dépotoirs. «Contrairement aux goélands qui y transitent quelques minutes par jour, les travailleurs passent des heures dans les sites d’enfouissement et ils sont ainsi exposés à plusieurs contaminants».

Pour en savoir plus sur les travaux de recherche de notre membre.