Une étude de novembre 2020 démontrait que le glyphosate avait 8 des 10 caractéristiques d’un perturbateur endocrinien

«Les perturbateurs endocriniens agissent aussi à des doses infimes, à certains moments du développement. Pour ces substances qui peuvent imiter des hormones naturelles, ce n’est donc pas la dose qui fait le poison».

Notre membre Louise Vandelac, professeure à l’Institut des sciences de l’environnement de l’UQAM a donné une entrevue à ce sujet à La Tribune.