L’exposition des femmes à des perturbateurs endocriniens pendant leur grossesse semble avoir un impact négatif sur la fertilité de leurs fils 20 ans plus tard, indique la plus importante étude jamais réalisée sur le sujet.

Notre membre Maryse Bouchard résume cette étude et propose une solution :

«La solution serait de mettre en place des mesures collectives qui protégeraient toute la population, puisqu’on ne peut pas isoler les femmes enceintes ou leur demander de se comporter de manière complètement différente des autres.»